Elle est une grande dame, de celles, rares, qui restent grandes et dames alors que tout leur travail est de travailler au cœur, à la tête et au corps la Direction. Elle est conseil interne et avisé des communications Corporate d’un grand groupe International. De sa filiale hexagonale qu’elle parcourt comme une marelle lorsqu’elle sait se faire petite aussi, petite fille de jadis.
Et aujourd’hui avec moi elle est joyeuse et espiègle et avertie. Très différente de celle d’avant les vacances d’hiver. En sommeil de son désir.
Elle me regarde dans les yeux et elle sourit :
– Les petites décisions vous les prendrez. Les grandes décisions vous prendront.
Je souris. Je ris aussi.
– C’est excellent !
– C’est de Sigmund Freud.
– Il a de ces perles !
J’ajoute cela, troublée de la perle qu’elle est aujourd’hui pour moi.
Et je recherche la citation un extenso. Puisque je suis veilleuse et chercheuse et je tiens à la précision de la parole et au déplié de l’imagination alors :
» When making a decision of minor importance, I have always found it advantageous to consider all the pros and cons. In vital matters, however, such as the choice of a mate or a profession, the decision should come from the unconscious, from somewhere within ourselves. In the important decisions of personal life, we should be governed, I think, by the deep inner needs of our nature. »
Sigmund Freud
Je partage ici avec joie comme une mise en bouche aux deux journées de formation au coaching de changement personnel, inconscient, salutaire.
Et vous ça va ?