Cette sensation d’enfant. Voir le ciel sur la tête. Ne respirer que l’eau. Chaque jour elle revient. Cette sensation. Je sais déjà que c’est de parole dont j’ai été privée. De parole échangée. Et en « cure par la parole » je tire le fil associatif de ce qui a pu être tu et de ce moi qui est tué. Mais en reflet de l’angoisse d’hier je crains que l’analyse ne soit à nouveau faite davantage de ce que je tais. De ce qu’elle à son tour ne me dira pas. Jamais.
Il n’est que l’art comme ici, par Samantha French. Qui m’écoute et qui me dit.